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Bébé Bonheur L'avant et l'après bébé, notre vie de tous les jours
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mumu043 Modératrice
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Posté le: 20/11/2008 18:08:08 Sujet du message: l'école en danger |
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ho ben moi, ça ne me fait aps rire et quand tu auras lu l'article, tu ne riras plus non plus |
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vosco Accroc
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Posté le: 20/11/2008 18:09:38 Sujet du message: l'école en danger |
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je vais te dire le gouvernement ils peuvent bein faire ce qu'ils veulent !!! si j'ai envie d leurs dire que ce sont tous des merdes je leur dirais pis bon ils peuvent tiens supprimer de postes par ci par là mais ils ont qu'à moins se payer déjà ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
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vosco Accroc
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Posté le: 20/11/2008 18:10:05 Sujet du message: l'école en danger |
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lol rooo je suis pas gentille ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
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mumu043 Modératrice
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Posté le: 20/11/2008 18:19:15 Sujet du message: l'école en danger |
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mais justement : le gouvernement parle de débloquer 220 000 € pour payer des gens à surveiller les forums internet pour dépister les leader d'opinions de l'éducation nationale !!!!!!! faut vraiment que je retrouve le lien |
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mumu043 Modératrice
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Posté le: 20/11/2008 18:24:52 Sujet du message: Publicité |
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vosco Accroc
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Posté le: 20/11/2008 21:54:40 Sujet du message: l'école en danger |
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oki oki n'importe quoi mais où vas t'ont et la liberté d'expression on en fait quoi ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
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vosco Accroc
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Posté le: 20/11/2008 22:52:15 Sujet du message: l'école en danger |
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compte rendu de cette journée de grève
163.000 à 220.000 enseignants dans les rues
Un enseignant de primaire sur deux est en grève jeudi, selon le ministère. Xavier Darcos tente de relativiser la grogne, et réaffirme que «les suppressions de postes vont continuer». De la maternelle à l'université, du public au privé, les enseignants sont descendus dans la rue, jeudi pour protester contre les suppressions de postes et les réformes de l'Education nationale (réforme de la seconde, fin des cours le samedi…). Comme toujours, les chiffres donnés par la police et par les syndicats varient sensiblement. Les manifestants étaient ainsi entre 3.800 et 5.000 à Lille (dont Martine Aubry), de 5.000 à 10.000 à Toulouse, entre 5.500 et 20.000 à Bordeaux, de 5.000 à 11.000 à Marseille, de 6.000 à 10.000 à Lyon et entre 9.000 et 40.000 à Paris. Au total, les professeurs étaient entre 163.000, selon la police et 220.000, selon les syndicats, à défiler dans les rues. Selon le Snes-FSU (majoritaire), «plus d'un enseignant sur deux est en grève» dans les lycées et collèges. De son côté, le SNUipp-FSU (premier syndicat) a estimé à 69% la participation à la grève dans les écoles maternelles et élémentaires. Le 15 mai, lors de la dernière journée de grève unitaire bien suivie contre les suppressions de postes, ces chiffres étaient de plus de 55% dans le secondaire, (Snes-FSU) et de 63% en primaire (SNUipp-FSU). Le ministère estime que 48% des écoles ont débrayé, et que dans les collèges et lycées, les grévistes sont 21%. Le 15 mai, il avait évalué à 46% des professeurs des écoles et 33,55% de ceux des collèges et lycées, le nombre de grévistes. La plupart des syndicats faisaient état de leur satisfaction jeudi. Pour Gérard Aschieri, secrétaire général de la FSU, «c'est une journée réussie. Cette mobilisation a une signification. Il n'y a que le ministre pour ne pas le voir. Ce n'est pas seulement contre les suppressions de postes, mais contre l'accumulation de réformes qui ne sont pas concertées». En fin de journée, les trois principaux syndicats du primaire, SNUipp-FSU, SE-Unsa et Sgen-CFDT ont demandé à Xavier Darcos d'ouvrir les négociations. Innovation, ils ont adressé au ministre de l'Education nationale un «préavis de négociations» lui donnant «à l'image des préavis de grève, 5 jours pour ouvrir» le dialogue, sous peine de «nouvelles actions». Darcos de marbre Jeudi matin, la mobilisation semblait laisser de marbre Xavier Darcos. Invitéde RTL le ministre de l'Education a nuancé les chiffres brandis par les syndicats, «les chiffres sont toujours plus important le matin que l'après-midi. Ce soir, vous aurez moins d'un gréviste sur deux» et a promis quoi qu'il arrive de poursuivre le cap de sa politique. «Les suppressions de poste [11.200 cette année, 13.500 l'année prochaine] vont continuer. Ce qui compte c'est la manière dont nous nous organisons, les services que les enseignants rendent, et pas simplement le nombre de professeurs», a défendu le ministre qui a rappelé que l'Etat va dépenser 410 millions d'euros pour ses professeurs. «La résistance que nous rencontrons prouve que nous sommes efficaces», fait valoir Xavier Darcos. Lançant une charge contre les syndicats, il a dénoncé chez ces derniers «la culture systématique de la grève dès qu'il y a un problème». «Les protestations c'est démodé comme moyen d'aborder les soucis. Les enseignants méritent mieux que des syndicats qui organisent la résistance au changement», a-t-il martelé. «Le 21e siècle n'est pas vieux mais il a déjà connu 33 mouvements enseignants, connaissez vous beaucoup de professions qui font plus de quatre grèves par an ? La France avance plus vite que les cortèges, les syndicats entendent-ils le bruit du changement ?», s'est interrogé Xavier Darcos. Ce à quoi l'Unsa-Education a répondu que le ministre «continue de s'enfermer dans ses certitudes» et «continue à ne pas regarder ce qu'expriment» ceux qui «veulent changer le système éducatif». «Refuser le SMA, c'est inventer les congés forcés» Xavier Darcos a fait preuve de la même intransigeance concernant les communes qui n'appliqueront pas le service minimum d'accueil (SMA). «C'est de la blague, toute les communes de droite y arrivent, ce n'est pas une question d'organisation mais de volonté politique» a raillé le ministre, alors que Paris et Lyon ont annoncé ne pas pouvoir le SMA, faute de personnels suffisant pour assurer la sécurité des enfants. «Les socialistes ont inventé la double peine pour les parents, non seulement leur enfant ne va pas à l'école mais ils doivent s'arrêter de travailler. Ce sont des congés forcés», a déploré Xavier Darcos qui a prévenu, «les tribunaux administratifs prendront des sanctions». Jack Lang, ancien ministre de l'Education de Lionel Jospin, a appelé «le pays à se dresser contre ce gouvernement anti-école», en saluant «le courage et l'abnégation des professeurs qui sacrifient une journée de salaire pour sauver l'Ecole de la République». Pour lui, «jamais dans l'histoire de la République, un gouvernement n'avait organisé un massacre aussi systématique de notre école avec un tel mépris et un tel cynisme». ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
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vosco Accroc
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Posté le: 20/11/2008 22:54:30 Sujet du message: l'école en danger |
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mumu043 Modératrice
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Posté le: 20/11/2008 23:25:46 Sujet du message: l'école en danger |
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oui, bravo à Jack Lang ! je crois que c'est le seul ministre de l'éducation nationale que j'ai bien aimé et bravo à Martine Aubry qui est allée manifester |
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titibou78 Administratrice
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Posté le: 21/11/2008 00:40:53 Sujet du message: l'école en danger |
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Comme d'hab j'arrive après la bagarre.
J'ai même pas envie de rentrer dans la polémique car il est tard, mais une chose est sure c'est que mes enfants ne sont pas allés a l'école aujourd'hui car il y avait grève et je trouve ca tout a fait normal. Certains parents qui ne bossaient pas les ont envoyé quand même, je suis pas franchement d'accord avec eux.
Alors oui ca fait chier quand on bosse et qu'on sait pas quoi faire de ses enfants mais quand même, c'est pour de bonnes causes qu'ils se battent. Tout comme on critique les camionneurs quand ils font grève, mais personne ne les remercient quand le prix de l'essence descend.
Faut arrêter de se cacher la face. On a une vie de merde et si on ne se bat pas ca ira de pire en pire. Quand on voit comment c'est dur de trouver du boulot, quand on voit les usines qui ferment, les chomages techniques de plus en plus fréquent. Alors si en plus nos petits bouts sont 40 par classe et qu'ils ne vont a l'école qu'a 6 ans et que personne ne peut les aider si ils ont des difficultés, ba que deviendront ils ????? Quel avenir auront ils ?????????????
Nous aussi on a eu la lettre pour expliquer pourquoi les prof faisaient grève et j'ai trouvé ca super car très bien expliqué. Je trouve même dommage que ca n'ai pas été plus suivi que ca. Vous vous plaignez des grèves maintenant ?????? Alors attendez car vous avez pas fini d'en bavez.
Pour en finir je tire mon chapeau aux instits car franchement dans les conditions qu'ils ont ba moi je pourrais pas. Certains devraint essayer un genre de vit ma vie avec un instit, je pense que ca les ferait vite changer d'avis. Entre les élèves a supporter car y'a des cas, les copies a corriger, les devoirs a préparer, moi je dis que leur vacances sont bien méritées. Quand aux parents qui ralent et bien je leur dirais de venir défendre leurs idées pendant les réunions de parents d'élèves, mais en général c'est jamais ceux qui en font partie, ils préfèrent le dirent par derrière. ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Lydie et ses p'tits bouts. |
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Posté le: 21/11/2008 00:40:53 Sujet du message: Publicité |
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vosco Accroc
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Sexe: Nombre d'enfants: 3 Messages: 15 170
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Posté le: 21/11/2008 00:45:44 Sujet du message: l'école en danger |
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merci Lydie
et de plus faut savoir et je le redis ici que vos Mairie mettent en disposition des places aux centres de loisirs ou autre ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
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mumu043 Modératrice
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Sexe: Nombre d'enfants: 3 Messages: 36 016
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Posté le: 21/11/2008 00:48:16 Sujet du message: l'école en danger |
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oui, merci |
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coccinelle56 Accroc
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Sexe: Nombre d'enfants: 3 Messages: 30 515
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Posté le: 21/11/2008 10:26:51 Sujet du message: l'école en danger |
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ns, ni places en centre, ni solidarité parentale, ni papier pour explications.... |
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mcflyette Accroc
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alex69 Accroc
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Posté le: 22/11/2008 07:18:39 Sujet du message: l'école en danger |
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mumu043 a écrit: | tu as raison Alex, mais il faut laisser le choix aux parents... |
oui mais aux parents a qui les enfants sont assez matures ! moi lauryn je ne l'aurai pas fais meme pour gagnger un an de creche ! ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
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